Prochainement sur les bancs des poissonniers !
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"Twitter #farinesanimales" |
C'est pas un scoop. Outre les frayères que l'on essaye de restaurer pour les poissons migrateurs comme le saumon, les pêches intensives sur les zones d’engraissement du Groënland mettent en péril les stocks de géniteurs.
Mais tout va pour le mieux. La fonte des glaces libère de vastes espaces inexplorés où nous allons pêcher ce qui reste. Le parcellement international est en cours...
Il va falloir se faire à l'idée que les poissons seront plus petits dans les années à venir. Nous pouvons aussi surveiller nos assiettes. Manger moins pour consommer mieux.
Évidemment personne est dupe, mais il fallait y penser : le rôti de blanchaille à l'oseille sauce Picard !
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Nous mangeons toujours plus de poisson et, vu l’état des stocks dans les océans, toujours plus de poisson d’élevage. Mais, l’aquaculture peut-elle vraiment remplacer la pêche dans le futur? Peut-elle nourrir ses élevages de manière vraiment durable et surtout, fabrique-t-elle des poissons avec les mêmes qualités nutritionnelles que les poissons sauvages?
RTS.ch (à bon entendeur) a fait le point et vous propose 4 reportages sous le titre : Le poisson d’élevage regrette-t-il l'océan ?
- La pêche en Bretagne, le point de la situation
- La morue haut de gamme se trouve en Norvège
- Un poisson expérimental: la truite végétarienne
- Poisson sauvage ou d’élevage: le test (Vaut-il mieux manger du poisson sauvage ou d’élevage?)